Rapport du BAPE sur le projet d’agrandissement de la mine Canadian Malartic : CANADIAN MALARTIC A PRIS DES ENGAGEMENTS POUR RÉPONDRE AUX EXIGENCES DU BAPE SELON L’ASSOCIATION MINIÈRE DU QUÉBEC
13/10/2016
Québec, le 13 octobre 2016 – L’Association minière du Québec accueille avec optimisme le rapport du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) sur le projet d’agrandissement de la mine Canadian Malartic et souhaite que le ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, David Heurtel, saura voir tous les efforts déjà déployés par l’entreprise pour répondre aux exigences formulées par le BAPE et qu’il donnera son aval à cet important projet pour le développement de l’Abitibi-Témiscamingue et du Québec.
L’AMQ prendra le temps nécessaire pour procéder à une analyse plus approfondie du rapport, mais elle constate d’emblée que le BAPE juge le projet acceptable, si la compagnie prend des engagements en faveur de la population et de l’environnement. C’est précisément ce qu’a fait l’entreprise.
« Canadian Malartic est l’exemple parfait d’une société minière qui revoit ses façons de faire afin de s’adapter aux exigences du développement durable. Comme le mandat du BAPE concernait un site minier existant, des réalisations concrètes peuvent servir à démontrer qu’au-delà du discours, le Partenariat Canadian Malartic a mis en place des mécanismes de consultation et d’échange et des façons d’opérer qui permettent de répondre aux préoccupations du BAPE. Il est vrai que tout n’a pas été parfait dès les premières étapes, mais l’entreprise a su remédier aux situations qui causaient des problèmes ou des insatisfactions et a mis en place des mesures correctives qui, aujourd’hui, fonctionnent. Le BAPE a semblé beaucoup regarder le passé. Il est essentiel d’aussi jeter un œil au présent qui est gage de succès pour l’avenir », a affirmé Josée Méthot, présidente-directrice générale de l’AMQ.
Le BAPE recommande que soient notamment mises en place des mesures crédibles de gestion du bruit et des poussières. L’AMQ rappelle que Canadian Malartic est déjà engagée sur cette voie et que le suivi de l’ambiance sonore et du niveau de poussière qu’effectue en continu la compagnie grâce à des stations de mesures est une première pour une société minière au Québec. Fort préoccupé par le maintien de la qualité de vie des citoyens de Malartic, le Partenariat Canadian Malartic va même jusqu’à déplacer, voire cesser ses activités si les niveaux de bruits ou de poussière risquent d’incommoder la population. « Cela illustre une fois de plus que le Partenariat Canadian Malartic a pris les choses en mains pour que ses activités se déroulent avec le minimum d’impact sur la population. Les mesures mises en place semblent porter leurs fruits puisqu’aucun avis de non-conformité relatif à l’air n’a été émis au cours de la dernière année », a poursuivi Mme Méthot.
Canadian Malartic qui a su s’adapter et relever les défis pour devenir un joueur industriel majeur et crédible au Québec et qui contribue à la prospérité socioéconomique de Malartic, de l’Abitibi-Témiscamingue et du Québec en entier. C’est pourquoi l’Association minière du Québec réitère son appui au projet d’agrandissement et souhaite que le gouvernement du Québec délivrera les autorisations nécessaires à sa réalisation.
À propos de l’Association minière du Québec
Fondée en 1936, l’Association minière du Québec (AMQ) agit à titre de porte-parole proactif des entreprises minières en production, en exploration et en transformation, des entrepreneurs miniers, des entreprises minières en développement, de même que de fournisseurs, d’institutions, d’organismes sans but lucratif et de divers partenaires du secteur minier. Fière des 45 000 emplois de qualité et des dépenses totales de près de six milliards effectuées au Québec, l’AMQ a pour mission de promouvoir, soutenir et développer une industrie minérale québécoise engagée, responsable et innovante.